vendredi 23 octobre 2009

Vacances.




C'est les vacances. Je n'ai pas vu, depuis la rentrée, les semaines passées ! Quand je commençais dans le métier, le début d'année était le plus long, le plus difficile. Pas maintenant. Cette année 2009-2010 sera, je le sens, une bonne année, comme la précédente dont j'ai témoigné sur ce blog.

Que fait un enseignant pendant les vacances ? Il travaille ! C'est une boutade bien sûr, mais qui a sa part de vérité. Comme sont vrais les trois paquets de copies à corriger qui m'attendent sur le coin de ma table ...

Mais les vacances restent les vacances. C'est pourquoi je serai un peu moins prolixe dans mes billets, je me reposerai un peu plus, par facilité, sur les vignettes (aujourd'hui, le récent bulletin du lycée). J'ai une très sérieuse raison à ça : on m'a commandé la rédaction d'un ouvrage qui me demandera pas mal de temps, que je dois absolument libérer.

35 commentaires:

Arthur Nouaillat a dit…

Vous vous contredisez.

"Que fait un enseignant pendant les vacances ? Il travaille ! C'est une boutade bien sûr"
> Billet d'aujourd'hui

"Que fait un prof en vacances? Il travaille! Ce n'est pas une boutade. "
> Billet du 3 Novembre 2008

Emmanuel Mousset a dit…

La contradiction est le propre de l'homme. A condition de ne pas en abuser. Je n'en abuse pas.

Anonyme a dit…

A mon humble avis, les petites vacances ne sont pas à considérer comme de réelles vacances pour les enseignants. Elles ne permettent que de se reposer un peu (et encore), et elles sont systématiquement occupées par du travail en retard à rattraper, ou de l'avance à prendre.
Il n'y a qu'en été qu'on a le temps de sortir du travail d'enseignant.

Anonyme a dit…

et l'élève suit avec ardeur votre blog ... il relève certaines citations chaque soir ...

Arthur Nouaillat a dit…

En effet, je raffole de ce blog, j'ai toujours rêvé de connaître en quelque sorte les "coulisses" de la vie d'un prof.

Anonyme a dit…

Anonyme du 24/10 à 14h49 à l'élève :
Sans vouloir vous démoraliser, mais juste en étant réaliste, votre rêve risque rapidement de devenir un cauchemar...

Emmanuel Mousset a dit…

En ce qui me concerne, ma vie n'est pas un cauchemar.

Anonyme a dit…

Je ne voulais pas dire que votre vie était un cauchemar, je ne peux d'ailleurs pas le dire, puisque je ne la connais pas.
Cependant, étant moi-même enseignante, et étant d'un naturel réaliste, je ne vois pas ce qui peut faire rêver dans la vie d'un enseignant.

Emmanuel Mousset a dit…

Comment peut-on être enseignant sans penser qu'il y a une part de rêve dans sa vie ? Dans toute vie d'ailleurs.

Anonyme a dit…

La part de "rêve" existe, mais elle est minime. Moi quand je m'éclate c'est en classe, avec les élèves, dans certaines situations.
Mais les coulisses n'ont rien de fabuleux, avouez-le.
Les préparations sont en général intéressantes, certes, mais les corrections qui occupent la plupart de notre temps sont assez fastidieuses.

Emmanuel Mousset a dit…

La part de rêve n'est-elle pas minime dans n'importe quelle situation ? L'essentiel est qu'elle soit là, qu'elle existe et surtout qu'elle fasse rêver autrui.

Quant aux corrections, elles sont certes fastidieuses mais font partie de notre métier. Je ne comprends pas les enseignants qui s'en plaignent. Ou alors réfléchissons à un autre mode d'évaluation.

Et puis, dans ces corrections, il y a aussi une part de plaisir qu'on peut y trouver, aussi minime là aussi soit-il. Comme en toute chose.

Anonyme a dit…

Je ne me plains pas d'avoir des tonnes de corrections à faire, ni d'être enseignante, d'ailleurs. Le métier que j'exerce, je l'ai accepté dans sa globalité. Cependant j'avoue que ce n'est pas de gaieté de cœur que je me plonge dans les corrections quotidiennes.

Je voulais juste mettre en avant que la réalité des coulisses de la vie d'un prof, est loin d'être idyllique. D'ailleurs, si mon fils désirait un jour s'orienter vers cette carrière, je ne le lui interdirais pas, mais je ne l'encouragerais pas non plus à faire ce choix.

Arthur Nouaillat a dit…

J'ai toujours été impressionné par le métier de prof, j'ai fait mon stage dans une école primaire où je me suis investit énormément allant même jusqu'à faire des contrôles et les corriger et je prenais plaisir à ça. Préparer des polycopies bien tapés à l'ordinateur est une passion, j'adore en classe aller écrire au tableau...
Transmettre du savoir, apporter des connaissances nouvelles, aider les élèves en difficultés, c'est juste formidable..

A l'anonyme enseignante > Vous êtres prof de quoi ?

Emmanuel Mousset a dit…

Je ne sais pas si tu es un bon élève, mais tu pourrais devenir un bon professeur.

secretdéfense a dit…

moi aussi j'aime bien savoir les coulisses de la vie d'un prof ...
quand on connait mieux leur vie en dehors (pas idyllique) on est plus gentil.


sinon pour décompresser sur votre métier.

www.leszrofs.fr

des chansons écrites par des profs (en collège-lycée , prof de physique-chimie), qui se défoulent en faisant des chansons sur leur métier ...

il y en a sur la cantine , sur le conseil de classe , ect... (certains sur des sujets "légers" comme "le petit café" d'autre sur des sujets comme la réunion parents profs)

ceux que j'aiment le moins sont la dissection (trop morbide) la physique-chimie (la mélodie est pas géniale) et la "mut" (pas fan du style "chorale) mais j'adore les autres.

par contre , les chansons sont longues à charger , faut mieux prévoir un truc à faire pendant que ça charge

Emmanuel Mousset a dit…

Merci pour cette information.

Anonyme a dit…

L'anonyme enseignante (et non alcoolique...) vous répond.

J'ai l'impression que vous croyez que je n'aime pas mon métier. Ce n'est pas du tout le cas, sinon j'aurai démissionné dès l'arrivée des premières difficultés.
La situation d'enseignement en elle-même, la relation pédagogique, la transmission de valeurs sont des éléments qui me passionnent.

J'ai rêvé de certains profs, oui, j'en ai admiré d'autres, dès le collège j'avais envie d'enseigner, mais je ne me rappelle pas avoir "rêvé" d'être prof. Mais apparemment, je suis beaucoup plus réaliste que vous.

Moi aussi je préfère concevoir mes supports en utilisant l'outil informatique, et je suis fière de moi quand ces supports s'avèrent être efficaces.

Que vous ayez adoré "jouer" à être enseignante pendant un temps déterminé est une chose formidable, cependant veuillez admettre que vous n'avez touché qu'à la partie émergée de l'iceberg. Vous n'avez pas eu à gérer la classe entière une année durant, vous n'avez pas eu à gérer les parents qui sont parfois (voire souvent) plus délicats à gérer que leurs enfants, vous n'avez pas eu à concilier de front votre vie personnelle d'adulte et votre engagement "professionnel", vous n'avez pas eu à obéir à des réformes que vous trouvez contraire à l'intérêt des élèves...

Encore une fois, je ne dis pas que le métier d'enseignant n'est pas passionnant, je dis simplement que le revers de la médaille n'est pas aussi rose qu'on pourrait le croire.

J'ai failli être prof d'EPS, mais ce n'était pas pour ne pas avoir de corrections à faire, même si j'étais consciente de cet avantage.
Actuellement, je suis professeur des écoles, instit' quoi!

Merci à secretdéfense d'admettre que les coulisses de la vie d'un prof ne sont pas forcément idylliques. Je me sens moins seule d'un coup.
Pour la décompression, merci pour ces infos, mais j'ai déjà quelques méthodes personnelles et efficaces.

Arthur Nouaillat a dit…

Ce n'est pas la première fois que l'enseignante ici présente intervient sur ce blog, il y a pas longtemps je me rappelle qu'elle nous aviez expliqué qu'elle avait était en arrêt après quelques difficultés..
Néanmoins en lisant bien votre dernier commentaire on ressent quand même une amertume. Je suis sur que si vous pouviez changer de métier du jours au lendemain vous le feriez.
Et puis si vous vous lassez je pense que vous pouvez évoluer, passer des concours pour par exemple être attaché de l'inspecteur, directeur d'école, il y a plein de possibilités..

Anonyme a dit…

Apparemment vous retenez davantage les paroles du "Dieu Mousset" que vous semblez idolâtrer, que les miennes. Mais je n'en suis aucunement jalouse, rassurez-vous! Cependant je ne peux pas vous laisser écrire ce commentaire que vous venez de publier sans réagir, par conséquent je le fais, et à l'avenir, je pense que je m'abstiendrai de vous répondre, puisque vous ne voulez pas ME comprendre.

1- Lors de l'intervention dont vous parlez, je n'ai jamais écrit que j'avais été en arrêt, bien au contraire. Recherchez l'article, cela vous occupera, puisque vous semblez connaître ce blog par cœur.

2- Dans mon dernier commentaire, on ne sent aucune amertume, mais du RÉALISME! Car je connais mieux que vous les points positifs et négatifs de mon métier!

3- Vous ne pouvez être sûre de rien me concernant, puisque vous ne me connaissez pas! Et de toutes façons vous n'êtes pas prête d'arriver à me connaître puisque vous ne cherchez pas à comprendre mes propos.

4- Si je pouvais changer de métier du jour au lendemain, je ne sais pas si je le ferais. Mais si un jour l'envie me prenait, ou plutôt si l'envie d'enseigner me quittait, alors je chercherais autre chose. Cependant, si j'avais dû le faire, je l'aurais déjà fait.

6- Je ne ressens aucune lassitude par rapport à mon métier, mais encore une fois, je suis RÉALISTE!

7- Il n'y a pas "plein de possibilités" de changement comme vous le dites, mais je vous excuse, puisque vous n'y connaissez pas grand chose, ce qui est normal puisque vous n'appartenez pas au corps enseignant.

8- Comme M. Mousset, vous affirmez beaucoup de choses, mais à votre âge, je pense que vous pourriez avoir davantage d'humilité. Votre idole est davantage pardonnable, car il connaît les sujets dont il parle, et à son âge il serait dommage qu'il n'ait pas de certitudes. Cependant, sachez que la principale qualité d'un enseignant est sa capacité à se remettre en question, alors arrêtez d'être si sûre de vous, et essayez d'écouter et de prendre en compte les propos des autres.
A bon entendeur...
Je retourne à mes agréables corrections...

Emmanuel Mousset a dit…

Chère collègue,

Vous me semblez bien brutale avec cet élève admiratif de notre métier (et qui ne me divinise pas, d'autant que ce n'est pas un de mes élèves) ! Nous devrions au contraire l'en féliciter. Sont-ils si nombreux avec un tel état d'esprit ?

Anonyme a dit…

Cher collègue,

Je suis aussi brutale avec cette élève qu'elle (car si j'ai bien suivi, je crois que c'est une fille, non?) l'est avec moi.
J'ai essayé de lui expliquer la réalité du métier d'enseignant, mais non seulement elle ne veut pas essayer de comprendre mes propos, mais en plus elle les détourne.
Contrairement à elle, je ne lui fais aucun reproche, sinon celui de ne pas écouter l'autre.
Quand elle arrêtera de tirer de fausses conclusions sur ma personnalité, et qu'elle sera plus humble, je laisserai tomber ce ton "brutal" de ce dernier message, pour l'échanger contre le ton plus courtois que j'adoptais au début, et qu'elle devrait aussi adopter en mettant de côtés ses fausses certitudes.

Qu'un élève admire le métier d'enseignant, c'est bien, et il en faut car pour devenir enseignant il faut avoir une bonne dose de volonté. Cependant, je pense qu'il est du devoir de chaque collège de faire prendre conscience à chacun de ces adolescents que ce métier est loin d'être une partie de plaisirs! Comme vous le savez, notre métier demande un grand engagement qu'on ne peut accepter que si on en connaît les revers.

Cordialement.

Arthur Nouaillat a dit…

Moi aussi je ne peux pas vous laissez écrire ce commentaire qui n'est pas du tout objectif.

1- Mr Mousset n'est nullement mon idole, je trouve juste très bien le fait qu'il aime autant son métier et qu'il nous fait partager un maximum de choses, parce qu'il n'est pas obliger.

2- Ce n'est pas non plus mon "DIEU" car quand on a un Dieu, on est toujours d'accord avec lui et on l'approuve toujours, or il m'est arrivé de ne pas toujours être d'accord avec Mr.Mousset.

3- Si il y a de nombreuses possibilités de changements et mon grand-père qui était professeur des écoles à Saint-Quentin a effectué beaucoup de changements durant sa vie professionnelle.

4- Je ne vous autorise pas de dire que je n'y connais rien, je connais moins de choses que vous certes mais j'en connais pas mal quand même.

4- J'écoute avec soin les propos des autres mais pardonnez-moi si à chaque fois que vous passez sur ce blog j'ai l'étrange impression que c'est pour contredire Mr.Mousset et dire tous les points négatifs. (cf : le billet où vous avez laissé comme commentaire le fait que pendant les vacances un prof devait oublier l'école et ses élèves et il y a pleins d'autres exemples ...)

Arthur Nouaillat a dit…

Je tiens à préciser que je suis un garçon.

Anonyme a dit…

Étant la plus âgée, je vais être la plus intelligente et cesser cette querelle inutile, car en plus je n'ai ni maillot de bain, ni boue à proximité...

Qu'est-ce qui vous dérange tant dans le fait que je contredise M. Mousset? Vous-même vous dites qu'il vous arrive aussi de le contredire, alors pourquoi n'aurais-je pas le droit de le faire à mon tour?
Déjà M. Mousset adore être contredit.
En plus je ne vois pas l'intérêt d'intervenir juste pour dire qu'on est d'accord, sinon il n'y aucune discussion intéressante possible. L'intérêt de ce blog n'est-il pas de confronter des points de vue?

Enfin, vous faites preuve d'un peu d'humilité en reconnaissant que vous devez sûrement connaître moins de chose qu'un enseignant, sur son métier. C'est rassurant.

Il peut y avoir différentes possibilités, mais pas tant que ça, pour ceux qui ne veulent plus être en contact avec les élèves, ce qui n'est pas mon cas, contrairement à ce que vous semblez penser.

Par définition, un commentaire est forcément subjectif.

Avais-je raison de penser que vous étiez une fille?

Anonyme a dit…

Alors, excusez-moi, je croyais que vous étiez une fille. Ce n'est pas une insulte, convenez-en, mais si je dois encore "converser" avec vous, j'y penserai.

Arthur Nouaillat a dit…

Je n'appelle pas ça une querelle inutile mais plutôt un débat constructif qui m'a été bénéfique.
Je vous en remercie.

Anonyme a dit…

Si vous pensez que ce "débat" houleux, fut "constructif" et "bénéfique" pour vous, alors j'en suis ravie!
Comme quoi, il est nécessaire d'être en désaccord avec quelqu'un pour évoluer, et même de le renvoyer dans ses 22 pour qu'il puisse avancer de nouveau!
J'accepte vos remerciements.
Sans rancune.

grandourscharmant a dit…

Débat intéressant,
quelques points doivent etre souligné me semble-t-il.

Avoir des certitudes à 15a me semble beaucoup plus sains qu'en avoir à 45,
qu'on manque d'humilité quand on a une faible connaissance de la vie,
cela peut s'entendre.
Qu'avec le savoir et l'expérience, on se replit sur soi-meme, on soit borné,
et qu'avec l'age on s'accroche à ses certitudes.

Grandir me semble-t-il,
c'est renoncer à ses certitudes pas les sanctuariser.

Dans ma conception des choses,
le travail de correction est ce qu'il y a de plus intéressant dans la fonction d'enseignant.
C'est la sanction de la qualité du travail qu'on a produit.

Cela permet de savoir ce que l'élève a appris et compris,
les points qu'il semble avoir intégré et ceux sur lesquels un effort doit être réalisé.
C'est un des rares moments où on peut individualiser le travail puisque la correction est forcément individualisé.

Après, je ne suis pas naif,
je sais bien que le plus souvent,
ce n'est pas dans cet esprit que les choses sont faite
et je le regrette fortement.

L'eleve le plus intéressant pour un enseignant devrait etre le cancre plutot que le bon eleve,
le cancre a tout à apprendre.
Le bon eleve est une bénédiction pour l'égo, mais le role de l'enseignant se limite souvent à de l'accompagnement plus qu'à de l'instruction.

Arthur Nouaillat a dit…

Je suis d'accord avec grandourscharmant mais je tiens à préciser que j'ai 16 ans et demi et non 15 ans.

Anonyme a dit…

Hé bien moi je ne suis pas franchement d'accord avec le GOC.

Les corrections sont intéressantes pour tout ce qu'elles nous apprennent sur l'élève, certes, mais vu le nombre d'élèves par classe, elles sont fastidieuses, je persiste et je signe!
Si vous ne les trouvez pas fastidieuses, donnez-moi votre adresse et je vous envoie tout de suite mes 56 cahiers et 84 évaluations à corriger pendant ces quelques jours de repos.

Je ne suis pas d'accord avec vous, sur le rapport que vous dressez entre l'humilité et l'âge d'une personne.

Pour moi, enseignante, l'élève le plus intéressant n'est pas celui qui a le plus de difficultés et que vous vous permettez d'appeler "cancre", mot dont j'ai horreur. Cependant c'est effectivement à cet élève que je porte le plus d'intérêt.

Le bon élève n'est aucunement une bénédiction pour mon égo, bien au contraire, puisque je sais que même sans aucune aide de ma part, il s'en sortira tout le temps ou presque.

Arthur Nouaillat a dit…

Je ne suis pas d'accord avec vous.

Un élève qui soit bon, très bon voire excellent aura toujours besoin d'aide de la part de son enseignant parce que sinon, ça ne sert à rien qu'il vienne..

Anonyme a dit…

Précision : je parlais d'une aide spécifique. Le bon élève se contente généralement des explications collectives.
Et n'oubliez pas le "ou presque" final de mon propos.

grandourscharmant a dit…

C'est parce que je me permet beaucoup de choses,
parfois bien plus que je ne devrais,
mais c'est parce que je ne sais pas qu'on n'a pas le droit de se le permettre.

Par contre, en dehors de votre reconnaissance éternelle,
je ne suis pas bien sur de ce que j'aurai à gagner dans cette histoire.

C'est tres valorisant pour moi que vous pensiez que je puisse remplir votre mission,
mais il n'est pas sur que j'ai la certification pour me le permettre.

Je m'en voudrais de vous prendre le travail si exaltant pour lequel vous êtes rémunéré.

Anonyme a dit…

Au GOC:
Je n'ai jamais pensé que vous puissiez remplir CORRECTEMENT ma mission, puisque je ne vous connais pas. Comme vous semblez croire que les corrections représentent la partie la plus intéressante du travail d'enseignant, je voulais juste vous inviter à partager cette partie de "plaisir". Mais apparemment, quand il faut passer des mots à l'action, surtout quand il n'y a rien de concret à gagner, il n'y a plus personne...
Vous avez oublié un adverbe dans votre dernière phrase :
"Je m'en voudrais de vous prendre le travail si exaltant pour lequel vous êtes ... GRASSEMENT ... rémunéré."

Anonyme a dit…

La grassouillette,
grassement payée.