Y a-t-il des questions auxquelles aucune science ne répond ?
C'est à nouveau un sujet d'épistémologie, donc délicat à traiter. On demande en introduction si la science est omnisciente, si elle a ou non réponse à tout. D'emblée, on a envie de dire non. En même temps, la science ne cessant de progresser, ne finira-t-elle pas par avoir réponse à tout ? Ou bien se heurte -t-elle à des limites, et lesquelles ?
Dans une première partie, je montre que la science ne répond pas à la question du bien et du mal, que se réserve la morale.
Dans une deuxième partie, j'explique que la science ne répond pas à la question de la transcendance, qu'aborde la religion.
Dans une troisième partie, je soutiens que la science ne répond pas à la question politique du bien commun, dont délibèrent les citoyens, pas les savants.
En conclusion, j'affirme que la science n'a pas réponse à tout mais qu'elle peut et doit tout questionner, y compris la morale, la religion et la politique.
jeudi 18 juin 2009
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