J'ai bien failli de pas pouvoir faire ma conférence à l'UNESCO (vignette 1) : à 12h17, j'ai appris sur le quai de la gare que le train était supprimé à cause de travaux. Heureusement, le 15h33 m'a conduit à peu près à temps à Paris. L'UNESCO, quel labyrinthe ! J'ai retrouvé Gunter Gorhan dans une salle au milieu d'une quinzaine de personnes. Mon intervention (vignette 2) a été jugée "vivante". Et j'ai fait connaissance, pure et heureuse coïncidence, avec la chargée de mission en Picardie pour le tricentenaire de Rousseau, en 2012. Un beau projet en perspective !
mercredi 17 novembre 2010
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