
jeudi 17 mars 2011
mercredi 16 mars 2011
mardi 15 mars 2011
Une bien sympathique cérémonie.



Une bien sympathique cérémonie s'est déroulée lundi matin, à 10h00, dans les bureaux de l'intendance de mon lycée. J'ai remis à Sylvie Julien deux diplômes, une médaille et une coupe, pour elle et pour son club, la Vaillante Gymnastique. Jean-Pierre Fontaine, président de l'UFOLEP (à laquelle la Vaillante est affiliée), m'avait chargé de cette mission protocolaire, lors de l'assemblée générale de vendredi dernier, où Sylvie n'avait pu se rendre. Comme nous travaillons dans le même lycée ...
Vignette 1 : lecture des diplômes, en présence de Monsieur l'Intendant.
Vignette 2 : l'instant solennel de la remise.
Vignette 3 : l'équipe d'intendance pour la photo finale.
Les femmes et moi.


Non, non, non, que le titre de ce billet ne vous laisse pas croire que je vais vous dévoiler ma vie privée, sentimentale ou sexuelle. Ce n'est pas le genre de la maison. J'ai horreur du style journal intime, ce "misérable tas de petits secrets" comme l'appelait Jean-Paul Sartre. Je suis désolé de décevoir votre curiosité mais j'en resterais une fois de plus à mes activités publiques, concernant la Journée Mondiale des Femmes, à Saint-Quentin (vignette 1) et à Guise (vignette 2), telles que les relate L'Aisne Nouvelle d'hier.
lundi 14 mars 2011
Avant le 21 mars.


Conférence de presse cet après-midi à l'école Lyon-Jumentier, entre deux cours, pour présenter le programme 2 011 des Semaines contre le Racisme et les Discriminations, organisées par la Ligue de l'enseignement (vignette 1) dans tout le département de l'Aisne. Les journalistes ont pu assister aux répétitions de la chorale, sous la direction de Jacqueline Hargous (vignette 2). Notre traditionnel rendez-vous du 21 mars, Journée Mondiale contre le Racisme, se prépare ...
dimanche 13 mars 2011
samedi 12 mars 2011
C'est grave docteur ?




Quand je suis entré cet après-midi, à 15h30, dans la salle de réunion où devait se tenir le café philo, au Centre culturel de Soissons, il n'y avait personne, mais ce qu'on appelle personne : pas un chat, pas même une mouche, une grande pièce blanche, quelques tables et chaises, des gobelets et du café, et moi au milieu, c'est tout. Il faut dire que le ciel était gris et que le sujet était encore plus gris que le ciel : "Vivre avec la maladie" (vignette 1, l'introduction). Mais c'est la vie ! Et puis, la figure était imposée, par la Maison des Préventions, dans le cadre de la semaine contre le cancer.
J'ai bien cru que j'allais annuler. Ça m'est déjà arrivé, assez rarement, puisque la formule café philo attire généralement son monde. Mais on ne peut jamais prévoir ce qu'une manifestation publique va donner. Finalement, les gens sont venus, petit à petit, la salle a cessé d'être blanche et vide, et moi tout seul : une fois de plus, la magie du café philo a opéré (ça fait treize ans que ça dure !). Une vingtaine de personnes se sont installées et le débat a bien marché (vignettes 2, 3 et 4).
"Vivre avec sa maladie", le thème est délicat, difficile même. Il faut éviter les témoignages (ce n'est pas un café psycho) et les interventions spécialisées (ce n'est pas un cours de médecine). Faire quoi alors ? Montrer que la réflexion peut s'emparer de la maladie, l'analyser, la comprendre, peut-être la surmonter. Jusqu'à l'ultime provocation : qui sait si la maladie n'est pas bénéfique, révélatrice, qui sait si elle n'induit pas une forme de sagesse ? Epicure, Pascal et Nietzsche étaient de grands malades et de grands génies.
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